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Lobo HviskerRuiz S. Alvarèz - A story of rocks and weedDim 4 Aoû 2024 - 16:51
Ruiz est une personne avec qui nouer du lien et d’une simplicité effarante. Toujours très à l’écoute, il arrive à se passionner pour ce qui intéresse la personne en face de lui avec une facilité épatante. Curieux et attentif, c’est la personne idéale avec qui parler de tout et de rien, que ce soit chaque jour à avec des mois de délai. Convivial au possible, c’est une personne avec qui reprendre un échange se fait sans aucune difficulté. Vous ne serez jamais oublié tant que vous aurez échangé ne serait-ce qu’un sourire avec lui, en faisant un ami de tout temps !
Sous ses airs de joyeux luron se cache néanmoins une intelligence redoutable. Passionné par les pierres et leur composition, Ruiz voue un intérêt tout particulier au travail minier. Ayant des affinités avec la terre et la roche, il a toujours eu du flair pour les bons filons et a toujours apprécié partager ses découvertes. Dans ses récoltes, on compte nombre de pierres précieuses pour lesquelles il porte un intérêt tout particulier. Passionné par la beauté, l’hispanique peut passer des heures à détailler les contours d’une pierre pour visualiser la merveille qu’il peut tailler avec. Cet amour de la beauté à l’état brute est sûrement la source de sa passion pour la gravure, mais aussi pour les autres. Il n’est pas rare de voir son regard s’égarer sur autrui et de lire dans ses yeux rêveurs tout ce qu’il aimerait explorer chez quelqu’un.
Rêveur, oui, c’est un terme qui lui correspond bien. Souvent dans ses rêveries, l’ibérique ne rêve que de paix et de tranquillité. Laissant les tâches majeures comme le boulot de Praecones ou l’extension de la ville aux pros, il préfère raffiner les choses simples, aspirant à une vie tranquille comme celle qu’il aurait pu vivre dans l’Empire auparavant avec ses compétences actuelles. Entendre parler de l’ancien temps, des villes et des cultures, de l’oisiveté des personnes aux travaux dans l’art… Une vision bien déformée de ce qu’était la vie auparavant, mais qu’il espère néanmoins un jour atteindre à Lucidalia !
Issu d’une famille nombreuse, Ruiz a très vite eu beaucoup de responsabilités. Soudée, sa famille a toujours partagé énormément de choses, que ce soit au niveau de la cuisine, du travail ou des connaissances, donnant tout un éventail de connaissances au garçon ! Capable de cuisiner pour un régiment, ou encore de gérer une troupe entière sans qu’il n’y ait de conflit, la famille Alvarèz est connue pour être une bonne force de travail. Mais aussi un chaos de traditions anciennes.
Croyant, bien qu’il ne pratique que très peu, Ruiz a été élevé dans l’esprit de la Paroisse de la Flamme. Sa famille est d’une branche connexe de cette religion, appelée l’Ignis. Une croyance issue d’un monstre de feu que les habitants d’un village craignaient de décimer les récoltes, mais qui s’est avéré être un gardien pendant des générations à qui l’on faisait des offrandes pour nourrir son feu. Il n’est pas rare, par moment, de voir la taupe qu’est le jeune homme lancer quelque chose dans un habitacle contenant une flamme, ou murmurer une prière.
Affamé de liberté et de tranquillité, c’est grâce à son ami•e botaniste qu’il cultive actuellement quelques plantes pour lesquelles il a une affection… particulière. Des drogues, tout simplement. Faisant lui-même son tabac, il cultive précieusement une réserve qu’il ne rechigne pas à partager ! Il cultive assidument un plant de feuille aux effets particulièrement désinhibants, qu’il ne propose pas à tout le monde. Son rêve reste d’un jour proposer un café ou un établissement de repos pour les membres de Lucidalia, où ils pourraient simplement échanger en toute convivialité autour de différents consommables. Chose qu’il a expérimenté à Westen mais qui l’a laissé… assez inconfortable. Depuis qu'il a vu les yeux accusateurs de la Pègre sur la manière de gérer la drogue, et cette histoire de dealer assassiné, il se garde de partager sa réserve personnelle ailleurs que dans son cercle intérieur. Sait-on jamais, ça pourrait lui attirer des ennuis.
Sa famille étant très portée sur le partage et le travail, la pègre a toujours été vue d'un mauvais œil chez les Alvarèz. Ruiz sait que tout le monde n’a pas la chance de s’en tirer aussi bien que lui, mais il reste méfiant sur certaines personnes de la pègre, sachant parfaitement ce que l’obscurité peut faire à quelqu’un. Capable de se fournir en produits en ces lieux, il sait aussi que certains bons clients pour ses bijoux
Bijoutier ? Sa passion. Une passion dont il espère vivre, bien que ses parents voient cela comme une certaine paresse. Aussi encourageants soient-ils avec lui, ils savent parfaitement que leur fils aurait pu être un brillant Praecones, mais que la simple évocation des responsabilités d’un tel poste l’épuise ! Son rêve de bijoutier s’est d’ailleurs consolidé il y a peu. Le décès de son grand-père, pilier familial, a exacerbé son envie d’émancipation. Et la seule chose à laquelle il aspire est maintenant d’être entouré des personnes qu’il aime, dans un cocon qu’il aurait sculpté de ses mains.
Romantique ? Pas autant qu’il n’est charmeur. Ruiz est un fléau passionné auquel nombre de citoyens & citoyennes se sont abandonnés. Passionné par le corps -de la même manière qu’il se passionne pour son travail- et les réactions de ces derniers, il chérit chaque frisson qu’il offre et se joue beaucoup des sensibilités, sa libido étant le pire ennemi de sa productivité, au même niveau que sa paresse ! Charmeur invétéré, il n’a ni honte ni gêne pour communiquer son appréciation pour quelqu’un, avec la même fluidité qu’il mumurerait ce qu’il rêve de leur faire…
Enfant du vent et de la liberté, Ruiz est un fragment de soleil énergique, incarné en une personne débordant de vie qui irradiera la vôtre de sa lueur.
Pourtant, il possède quelques détails “particuliers”. Souvent torse nu, il arbore tout un tas de bijoux dans tous les sens, comme les deux visages bleus sur son habituel chapeau. Deux pièces taillées dans du bois et peintes avec des pigments extraits lui-même. D’autres fois, il se balade avec cet autre badge en bois léger, où est sculpté le crâne d’une créature que son père a chassé héroïquement il y a longtemps. Souvent avec un énorme collier de perles rouges, taillées et polies par lui-même, on voit aussi tout un tas d'autres bijoux et pièces de tissu qu’il arbore selon l’humeur. Le style est une chose abstraite avec laquelle il s’amuse beaucoup, habituellement habillé de la plus bête des façons. Short, chaussures épaisses et bijoux. Rien de plus.
Sur son bras se trouve un tatouage de lettres, marquant ASCE, avec un S barré. Une histoire qu’il se garde pour lui-même, mais qui anime systématiquement chez ses proches une petite grimace triste. Un souvenir qu’il tient malgré tout à garder, en rappel d’une chose : on existe qu’une seule fois. Et on ne devrait pas avoir à se ruiner l’énergie en l’investissant dans des choses n’en valant pas la peine.
Dernière édition par Ruiz S. Alvarèz le Dim 4 Aoû 2024 - 18:15, édité 1 fois
